L'ordre du jour du conseil du 28 janvier était particulièrement léger, 7 points en séance publique ne nécessitant pas vraiment de commentaires.
Nous avons cependant réitéré notre demande concernant l'organisation du souper communal (voir notre précédent article). Le bourgmestre a répondu dans un premier temps que c'était "mesquin" pour finir par dire que c'était "démago". Il a néanmoins admis que le déroulement de ce repas n'était pas satisfaisant et qu'il y avait autant de versions que de communes. Pour retourner notre proposition en sa faveur, il a suggéré que nous reversions le jeton de présence qui nous est octroyé pour le conseil commun avec le CPAS (la loi impose aux communes un conseil commun entre le CPAS et le conseil communal une fois par an) à une association au choix. Nous ne sommes évidemment pas contre mais nous nous demandons combien les échevins et le bourgmestre comptent verser étant donné qu'ils n'ont pas de jetons mais un salaire ? Nous reviendrons certainement sur cette question.
Nous avons également demandé pourquoi, comme promis lors du conseil du 13 novembre 2008, ne nous était pas présenté le rapport du SRI sur l'état des zones à risques et les solutions envisagées pour palier à un éventuel manque d'eau. Rappelons que lors du conseil durant lequel cette question fut débattue, le bourgmestre certifiait que ce rapport existait et serait sur la table du conseil de janvier. Quel argument a-t-il avancé pour justifier le fait que rien n'était pas là? Le gel ... L'état de la situation ne peut être établi actuellement à cause du gel (vérification des bouches d'incendie, etc).
En conclusion, une fois de plus, le bourgmestre se moque de la sécurité des habitants de la commune.
Catherine Allard
Nous avons cependant réitéré notre demande concernant l'organisation du souper communal (voir notre précédent article). Le bourgmestre a répondu dans un premier temps que c'était "mesquin" pour finir par dire que c'était "démago". Il a néanmoins admis que le déroulement de ce repas n'était pas satisfaisant et qu'il y avait autant de versions que de communes. Pour retourner notre proposition en sa faveur, il a suggéré que nous reversions le jeton de présence qui nous est octroyé pour le conseil commun avec le CPAS (la loi impose aux communes un conseil commun entre le CPAS et le conseil communal une fois par an) à une association au choix. Nous ne sommes évidemment pas contre mais nous nous demandons combien les échevins et le bourgmestre comptent verser étant donné qu'ils n'ont pas de jetons mais un salaire ? Nous reviendrons certainement sur cette question.
Nous avons également demandé pourquoi, comme promis lors du conseil du 13 novembre 2008, ne nous était pas présenté le rapport du SRI sur l'état des zones à risques et les solutions envisagées pour palier à un éventuel manque d'eau. Rappelons que lors du conseil durant lequel cette question fut débattue, le bourgmestre certifiait que ce rapport existait et serait sur la table du conseil de janvier. Quel argument a-t-il avancé pour justifier le fait que rien n'était pas là? Le gel ... L'état de la situation ne peut être établi actuellement à cause du gel (vérification des bouches d'incendie, etc).
En conclusion, une fois de plus, le bourgmestre se moque de la sécurité des habitants de la commune.
Catherine Allard